Les liens que j'ai tissés avec beaucoup d'amis tunisiens me conduisent à exprimer mon émotion et ma tristesse en apprenant que les morts se multiplient en Tunisie.

J'exprime ma solidarité avec tous ceux qui souhaitent des évolutions dans ce pays, le respect de toutes les libertés - et avec tous ces jeunes contraints au chômage et aux expédients, alors qu'ils sont souvent diplômés, et qui veulent être entendus et construire un avenir conforme à leurs si légitimes espérances.

Les autorités tunisiennes ont dit "comprendre" ces aspirations. Cette compréhension est incompatible avec une répression violente et dont les conséquences sont tragiques.

Jean-Pierre Sueur.

> Lire les articles parus dans la presse à ce sujet.

> l'interview publiée par publicsenat.fr le 11 janvier 2011.

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