Jean-Pierre Sueur a écrit au Premier ministre au sujet de l’organisation d’une vente aux enchères d’instruments de torture le 3 avril à Paris. Il lui a fait part de son indignation devant cette manifestation morbide qui «commercialise la torture», et qui est outrageante à l’égard de la mémoire des êtres humains qui ont été victimes de la torture. Il lui a demandé quelles dispositions le Gouvernement comptait prendre à cet égard..