Les postes nouveaux que Vincent Peillon vient d’annoncer pour l’ensemble des académies - et donc celle d’Orléans-Tours – contrastent avec les suppressions massives d’emplois constatées au cours des dernières années et dont le moins que l’on puisse dire est qu’elles ne témoignaient pas d’un attachement à l’Education nationale ni de la prise en compte de la priorité que celle-ci doit constituer pour l’avenir de notre pays.
Ces créations de postes sont certes en nombre limité – le nouveau ministre n’est en fonction que depuis quelques mois -, et la formation et l’éducation, doivent redevenir des priorités pour notre pays.

Jean-Pierre Sueur

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