Je pense très fort aux proches, par un ou plusieurs fanatiques meurtriers qui récusent l’espérance de la révolution de jasmin en Tunisie et qui refusent que l’islam puisse cohabiter avec la démocratie, conformément au vœu exprimé récemment à Tunis par François Hollande et qui est, j’en suis sûr, partagé par la grande majorité des Tunisiens et des Tunisiennes.

Jean-Pierre Sueur

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