Pour les élections régionales de ce dimanche, évidente même : François Bonneau a beaucoup œuvré pour notre région Centre-Val de Loire, il a été constamment présent sur le terrain, toujours actif, se dépensant sans compter. Il a su animer une équipe au sein de laquelle les différences ne l’ont jamais emporté sur l’union pour le bien commun de la Région et la réussite de ses projets.
D’ailleurs, en lisant les documents publiés par les uns et les autres, je remarque que le bilan de François Bonneau n’est pratiquement pas contesté.
J’observe que son programme est tourné vers l’avenir.
Je constate que le programme des candidats de droite se traduit par quelques « moins » significatifs : moins d’aide aux associations, moins de « CapAsso », moins pour la culture, moins pour le ferroviaire (à l’heure de la COP 21 !). Et je pourrais continuer.
Je sais aussi que certains s’emploient à gommer le caractère régional de cette élection régionale pour la transformer en élection nationale.
Or, la question posée est celle de l’avenir de notre région. Là-dessus, François Bonneau a fait ses preuves, et notre région le mérite.
Je sais enfin que certains voudraient qu’on ne parle dans cette campagne électorale que d’un seul parti et que certains médias – heureusement pas tous ! – ne parlent que de lui !
Pour ma part, je ne lui ferai pas de publicité supplémentaire. Cela suffit !
Je préfère penser que notre région a justement – j’y ai apporté mon concours ! – changé de nom. Et que ce Val de Loire que nous aimons, que les rois ont aimé, que nos concitoyens plébiscitent – comme le montre l’immense succès de « La Loire à vélo », une initiative de la région –, ce Val de Loire au patrimoine culturel et naturel exceptionnel, doit devenir, qu’il va devenir, avec François Bonneau et son équipe, un Val de Loire de l’université, de la recherche, de la science, de l’économie du futur, de la culture de demain, dans le respect de son environnement si remarquable.
Ce sera aussi un Val de Loire aimé de la République et portant les valeurs de la République.
Jean-Pierre Sueur