Le Conseil constitutionnel vient de préciser utilement que le droit de veto du président de l'université pour les nominations des enseignants prévu par la loi Pécresse "ne peut être mis en œuvre pour des motifs étrangers à l'administration de l'université". Je redis mon désaccord avec ce droit de veto. Ces nominations doivent relever de décisions collégiales fondées sur la recherche et l'enseignement.
JPS
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