
Ce fut un moment fort.
Mais au-delà de l’émotion, il nous faut agir :
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répondre aux demandes de moyens de défense le plus efficacement possible avec la limite qu’impose la nécessité d’éviter une guerre mondiale et d’empêcher le recours aux armes nucléaires ;
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développer à cet égard une vraie solidarité entre les pays d’Europe ;
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renforcer les sanctions économiques autant que ce sera nécessaire, sans méconnaître qu’il y aura forcément des contrecoups pour nous ;
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continuer d’accueillir des réfugiés – comme le font déjà nombre de Français dans un véritable élan de solidarité.
JPS