Education

  • Mag'Centre, 7 août 2022

     
  • Par une question écrite, Jean-Pierre Sueur avait interrogé le ministre de l’Éducation nationale à propos de l’accueil des élèves en situation de handicap au sein des établissements scolaires.
    Jean-Michel Blanquer vient de lui répondre.

    >> Lire la question et la réponse

  • Par une question écrite, Jean-Pierre Sueur a interpellé le ministre de la Culture, Franck Riester, sur les difficultés rencontrées par les écoles d’architecture.

    >> Lire la question écrite

  • Le décret prévu à l’article 10 de la loi du 2 mars 2022 est nécessaire pour que cette disposition qui donne la possibilité aux assistants d’éducation de conclure un contrat à durée indéterminée après six ans d’exercice, en vue de poursuivre leur mission, ce décret n’est toujours pas paru.
    Un certain nombre d’assistants d’éducation étant intervenus auprès de Jean-Pierre Sueur pour protester contre le fait que, faute de parution du décret, la mesure pourtant inscrite dans la loi ne peut pas s’appliquer, Jean-Pierre Sueur a posé une question écrite à Pap Ndiaye, ministre de l’Éducation nationale.
     
    Publication du décret pour le recrutement en contrat à durée indéterminée des assistants d'éducation
    Question n° 28338 adressée à M. le ministre de l'éducation nationale et de la jeunesse
    À publier le : 23/06/2022
    Texte de la question : M. Jean-Pierre Sueur appelle l'attention de M. le ministre de l'éducation nationale et de la jeunesse sur la nécessaire publication du décret d'application de l'article 10 de la loi n° 2022-299 du 2 mars 2022 visant à combattre le harcèlement scolaire. Cet article prévoit la possibilité pour les assistants d'éducation de conclure avec l'État un contrat à durée indéterminée après six années d'exercice en vue de poursuivre leurs missions. Il lui demande à quelle date, qu'il espère la plus proche possible, il entend publier ce décret.
  • Par une question écrite, Jean-Pierre Sueur était intervenu auprès du ministre de l’Éducation nationale, Pap Ndiaye, au sujet des assistants d’éducation.
    Il avait notamment demandé que ceux qui peuvent se prévaloir de six années d’exercice de cette fonction puissent bénéficier d’un contrat à durée indéterminée, conformément aux termes de la loi du 2 mars 2022.
    Pap Ndiaye lui a répondu.
  • Jean-Pierre Sueur avait saisi le Premier ministre, Edouard Philippe, au nom du groupe France-Tunisie du Sénat, au sujet de l’augmentation des droits d’inscription des étudiants étrangers dans les universités françaises, qui aurait pour effet de dissuader ou d’empêcher nombre d’étudiants africains de faire leurs études en France.

    Edouard Philippe a répondu à Jean-Pierre Sueur

    >> Lire la lettre du Premier ministre

  • Jean-Pierre Sueur était intervenu sur les problèmes rencontrés par le collège Alain-Fournier d’Orléans-Source, auprès de Katia Béguin, rectrice de l’Académie d’Orléans-Tours.

    Celle-ci lui a répondu.

    >> Lire la réponse de Katia Béguin

  • La République du Centre, 7 mai 2021

  • J’ai eu le plaisir de participer avec le maire de Vennecy, Roger Deslandes, à un très riche débat avec les élèves de la classe de CM2 de l’école Jacques-Yves-Cousteau et leur professeure, Myriam Kerzerho. Ce débat a porté sur la proposition de loi que ses élèves ont préparée dans le cadre du concours national qui permet à des classes dans toute la France de présenter une proposition de loi. Celle-ci portait sur « Le bon usage du numérique ». On le lira ci-dessous. Je salue ce bel exercice, très motivant, d’instruction civique !

    JPS

    >> Lire la proposition de loi

  • Jean-Pierre Sueur a posé deux questions écrites, l’une à la ministre des Universités sur les trop faibles rémunérations des vacataires enseignant dans les universités, l’autre au ministre de l’Éducation nationale sur les très longs délais avec lesquels les indemnités sont payées aux enseignants participant à des jurys d’examen.
    Lire :
  • La République du Centre, 4 avril 2023

     
  • À la demande d’un enseignant du lycée Maurice-Genevoix d’Ingré, Jean-Pierre Sueur a saisi Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Éducation nationale, de la question de l’enseignement des sciences économiques et sociales dans le cadre de la réforme de baccalauréat.

    Jean-Michel Blanquer lui a répondu.

    >> Lire la lettre du ministre

  • Lors du colloque du Mouvement international de la réconciliation que j’ai accueilli au Sénat le 9 juin, Christian Renoux a rappelé la proposition de loi relative à l’éducation à la résolution non-violente des conflits que j'ai déposée le 20 juillet 2011. Cette proposition de loi qu’on lira ci-dessous n’a pas été adoptée. Mais l’essentiel de celle-ci a été repris dans la loi d’orientation présentée par Vincent Peillon promulguée en 2013 qui dispose dans son article 70 que les futurs enseignants devront être formés « à la prévention et la résolution non-violente des conflits. »
    En ces temps où la violence est quotidienne, il ne me paraît pas inutile – en effet – de rappeler cette proposition de loi et sa traduction dans la loi toujours en vigueur !
    JPS
  • Jean-Pierre Sueur a signé une tribune au sujet des conséquences des frais d’inscription élevés désormais demandés aux étudiants étrangers qui viennent faire leurs études en France. Cette tribune est parue sur le site du journal Libération.

    >> Lire la tribune

  • Le groupe interparlementaire d’amitié France-Tunisie du Sénat, toutes sensibilités politiques confondues, s’inquiète du projet du gouvernement d’augmenter considérablement les droits d’inscription à l’université des étudiants extracommunautaires.

    « Les études supérieures en France sont perçues comme un formidable levier d’émancipation sociale et culturelle pour la société tunisienne » rappelle son président, Jean-Pierre Sueur (Socialiste et républicain - Loiret). Les conséquences de ce projet seraient particulièrement regrettables pour les jeunes tunisiens, et plus généralement pour tous les jeunes africains.

    « Fixer des droits d’inscription à plusieurs milliers d’euros lorsque le salaire moyen ne dépasse pas quelques centaines d’euros conduit irrémédiablement à fermer les portes de nos universités » regrette Jean-Pierre Sueur. Les premiers chiffres de Campus France témoignent d’ailleurs d’une baisse notable du nombre d’étudiants préinscrits par rapport à l’an dernier, notamment en Tunisie (-16 %).

    Le projet du Gouvernement irait à l’encontre des objectifs ambitieux qu’il s’est fixé pour le développement de la Francophonie. L’une des forces des établissements français à l’étranger est la possibilité qu’ils offrent de poursuivre aisément des études supérieures en France. « Restreindre l’accès aux universités françaises risquerait donc de réduire l’attractivité du réseau français » prévient à cet égard Jean-Pierre Sueur.

    Face à ces risques, le groupe d’amitié France-Tunisie du Sénat propose, à l’unanimité, d’instaurer un moratoire sur la hausse des frais d’inscription pour l’ensemble des étudiants non-européens. « Seul un moratoire aurait pour effet immédiat d’apaiser la situation avec nos partenaires étrangers, mais également avec nos universités »exhorte son président. Le Gouvernement disposerait ainsi du temps nécessaire pour approfondir sa réflexion afin de limiter les effets regrettables pour l’attractivité de la France.

    Les membres du groupe interparlementaire d’amitié sont très attachés à ce que les liens unissant notre pays et les étudiants africains, et plus généralement francophones, ne soient pas rompus mais raffermis.

    Lire :

    >> Les lettres de Jean-Pierre Sueur au président de la République et au Premier ministre

    >> La dépêche AFP

  • Jean-Pierre Sueur est intervenu auprès de Jean Castex, Premier ministre, pour appeler son attention sur les lourds préjudices dont seront victimes les étudiants du Maghreb suite aux décisions de restriction d'octroi de visas prises par la France à l'égard de l'Algérie, du Maroc et de la Tunisie.
    Ces étudiants seront privés de la possibilité de poursuivre leurs études en France. Ce sera pour eux un très réel préjudice, mais ce sera également un préjudice pour la France et son rayonnement culturel, scientifique et économique.
    Jean-Pierre Sueur intervient auprès du Premier ministre au sujet du lourd préjudice porté aux étudiants à la suite des restrictions de visa dans les pays du Maghreb
  •  Après s’être rendu au collège, Jean-Pierre Sueur a adressé ce matin le courrier suivant à Katia Béguin, rectrice et à Philippe Ballé, directeur des services académiques de l’Éducation nationale :

    « À la suite de l’agression violente dont a été victime un surveillant au collège Alain-Fournier d’Orléans la Source, j’ai dialogué ce matin avec les représentants des enseignants, des parents d’élèves et l’équipe de direction du collège.

    Au terme de ces contacts, il m’apparaît que des mesures d’urgence sont nécessaires pour accroître les conditions d’encadrement au sein de ce collège.

    Il serait, en particulier, indispensable d’affecter à ce collège dans les meilleurs délais :

    • Un poste de conseiller principal d’éducation
    • Au moins deux postes de surveillants complémentaires
    • Un poste d’infirmière pour pallier la vacance actuelle.

    Au-delà, d’autres dispositions seront nécessaires. Il faudra, en particulier, parvenir à une réduction des effectifs pour favoriser un meilleur encadrement des élèves.

    En effet, comme vous le savez, l’effectif du collège s’est accru depuis la fermeture du collège de la Bolière et alors même que de nouveaux logements sont construits ou en construction dans le quartier de La Source. »

  • Comme il s’y était engagé lors d’une réunion organisée par le président de l’association « J’m mon enfant différent », Alex Vagner, Jean-Pierre Sueur a interpellé Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse sur ses projets pour « l’école inclusive » et l’accueil des élèves en situation de handicap dans les établissements scolaires.

    Lire :

    >> Le texte de la question écrite de Jean-Pierre Sueur

    >> Le compte-rendu de la réunion de l’association « J’m mon enfant différent » rédigé par Jean-Paul Briand sur le site de Mag’Centre

  • Ayant été informé des grandes difficultés que connaissent les vacataires de l’enseignement supérieur qui ne perçoivent leur salaire qu’avec un très long retard, Jean-Pierre Sueur a posé à Sylvie Retailleau, ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche, la question écrite ci-dessous.

    Retard de paiement des salaires des vacataires de l'enseignement supérieur
    Question n° 06179 adressée à Mme la ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche
    À publier le : 06/04/2023
    Texte de la question : M. Jean-Pierre Sueur appelle l'attention de Mme la ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche au sujet des retards de paiement des salaires versés aux vacataires de l'enseignement supérieur. Ces retards peuvent aller jusqu'à neuf mois, voire un an. Or, nombre de ces vacataires poursuivent leurs études et n'ont pas d'autre source de revenu. Des retards aussi importants les mettent donc dans une situation difficile, voire de précarité. Aussi, il lui demande quelles dispositions elle compte prendre pour que les vacataires de l'enseignement supérieur perçoivent leurs salaires dans les délais normaux qu'ils sont en droit d'attendre.
  • Le Monde, 6 avril 2021