Dans les médias

  • Jean-Pierre Sueur était l’invité le 15 mai dernier de l’émission « Questions aux sénateurs » sur la chaîne internet Accropolis.

    >> (Re)voir la vidéo

    Regardez [Questions aux Sénateurs] Jean-Pierre Sueur, sénateur Socialiste et Républicain du Loiret est l'invité d'HugoDécrypte ! de Accropolis sur www.twitch.tv

  • Jean-Pierre Sueur a répondu en direct à Yves Thréard dans le cadre du « Talk » quotidien du Figaro diffusé sur LeFigaro.fr.

    Il a également répondu aux questions des internautes

  • Jean-Pierre Sueur était l'invité de Pascale de la Tour du Pin ce mardi 19 mars à 7 h 20 sur LCI. Il a notamment évoqué les violences commises samedi dernier à Paris et la prochaine audition au Sénat du ministre de l'intérieur, Christophe Castaner.

    >> Voir et écouter un extrait de l'interview

  • Radio J : sur Charles Péguy
    Jean-Pierre Sueur a été interviewé lors de l’émission « Pont Neuf » par Salomon Malka sur Radio J au sujet de son livre Charles Péguy ou les vertiges de l’écriture.
     
    ENA et réforme de la fonction publique : Jean-Pierre Sueur répond à Amélie de Montchalin
    Jean-Pierre Sueur est intervenu lors d’une audition au Sénat d’Amélie de Montchalin, ministre de la Fonction publique, pour lui répondre.
     

    La matinale de Public Sénat
    Jean-Pierre Sueur a répondu aux questions d’Oriane Mancini sur l’actualité lors de la matinale de Public Sénat le 25 mai.
  • Jean-Pierre Sueur est intervenu à plusieurs reprises sur le projet de loi de prolongation de l’état d’urgence sanitaire, le 4 et 5 mai derniers au Sénat.

    Voici ses principales interventions :

    >> Dans le débat général

    >> Sur différents points du texte :

    >> Lire aussi l’interview de Jean-Pierre Sueur dans La République du Centre du mercredi 6 mai : « Protéger les fantassins de la République »

  • « Trahison ». C’est avec consternation que j’ai lu à la fin du mois d’août dans Le Monde les six longs articles de Gérard Davet et Fabrice Lhomme intitulés « Sept ans de trahison ». Ceux-ci ont été écrits à partir d’entretiens avec un certain nombre d’acteurs – d’anciens ministres notamment – du quinquennat de François Hollande. Il me paraît clair que les auteurs n’ont retenu que les extraits les plus durs, voire les plus « saignants », de ces entretiens. J’ai d’ailleurs rencontré deux personnes  qui ont été interviewées, mais dont les propos n’ont pas été repris : sans doute étaient-ils trop mesurés, trop nuancés. Toujours est-il que, pour ma part, je désapprouve nombre des propos qui ont été tenus et rapportés. Je considère que lorsqu’on a eu l’honneur d’être ministre – et même Premier ministre – d’un président de la République, un devoir de loyauté s’impose. Je n’imagine d’ailleurs pas qu’un certain nombre de ceux qui se sont exprimés n’aient pas eu de responsabilité effective dans les décisions qui ont été prises. J’ai déjà eu l’occasion de m’exprimer sur le quinquennat de François Hollande lors de la parution de son livre. Il y a eu, à côté d’erreurs sur le fond, d’erreurs de calendrier aussi, de vraies réussites dont – je le redis – l’histoire rendra justice. J’ai eu l’occasion de dire à François Hollande ce que je pensais des propos rapportés dans ces six articles. J’ajouterai que pour moi, le socialisme auquel je reste fidèle est synonyme de fraternité. Oui, de fraternité. C’est d’ailleurs ce que pensent, ou ce qu’ont pensé, tant d’adhérents, de militants, de sympathisants, du PS et de la gauche – au fil des temps –, ce qu’attendent tant de nos concitoyens – bien loin du culte des « égos » qui absorbe et pervertit ceux qui ont oublié d’où ils venaient et où il fallait aller.

    « Écologie ». L’urgence écologique est là. Nul ne peut plus le contester. Si bien que le champ politique se couvre de néo-convertis. On permettra à un élu qui, avec d’autres, s’est battu contre vents et marées et contre des opposants de toute sorte, pour construire à Orléans une ligne de tramway de dix-huit kilomètres, en un temps où l’on parlait moins d’écologie, d’écrire que seuls les actes comptent ! J’imagine qu’aux prochaines municipales, il n’y aura que des listes écologistes… Mais il ne suffit pas de s’approprier un mot… en oubliant toute autre préoccupation. C’est facile et c’est démagogique. Oui, seuls les actes comptent et compteront. Et si l’écologie est nécessaire, la solidarité reste indispensable. Je désapprouve ceux qui, au bénéfice de la première, délaissent la seconde. L’« empreinte carbone » des plus riches est incomparablement plus forte que celle des plus pauvres. Un monde plus habitable est un monde où l’on respecte la planète et également les êtres humains qui l’habitent – et d’abord les plus pauvres et les plus vulnérables qui sont, et risquent d’être davantage, les victimes du climat et de la misère.

    Non, on n’est pas couché. Qu’il suffise d’avoir réalisé des dessins et écrit des textes odieux et antisémites il y a vingt ou trente ans pour bénéficier de quarante minutes d’antenne sur une chaîne de service public laisse abasourdi. Que cette polémique survienne au cœur d’une autre polémique où deux paroles s’affrontent, sans que l’une des deux n’ait droit à la parole, cependant que les personnes présentes à l’émission en question font preuve d’une étrange complaisance laisse également abasourdi. J’espère à tout le moins que ceux qui n’ont pas eu la parole auront un « droit de réponse ». Mais en attendant, je m’interroge sur l’idée qu’on se fait, à la direction de France Télévision, du service public.

    Jean-Pierre Sueur

  • Jean-Pierre Sueur sera l’invité de la matinale de Public Sénat
    ce 12 septembre  à 7 h 30.

    >> Voir en direct

  • Jean-Pierre Sueur sera l’invité de l’émission « Bonjour chez vous » sur Public Sénat ce mercredi 20 novembre, de 7 h 30 à 8 h. L’émission portera notamment sur les élus et les collectivités locales au moment du Congrès des maires de France.

    >> Public Sénat en direct

  • Jean-Pierre Sueur a participé sur Public Sénat le 28 octobre à un débat sur l’actualité politique avec Philippe Dallier, sénateur de Seine-Saint-Denis.

    >> (Re)voir le débat (à partie de 2 h 31 mn)

  • Nous publions l'interview que Jean-Pierre Sueur a donnée au Journal du Parlement, parue sous le titre "Unité et cohérence" dans un numéro spécial consacré à la région Centre-Val de Loire.

    >> Lire l'article

     

  • Le magazine funéraire Résonance a réalisé un numéro spécial consacré au rapport de Jean-Pierre Sueur sur la thanatopraxie – le premier rapport parlementaire sur ce sujet. Ce numéro s’ouvre sur une longue interview de Jean-Pierre Sueur qui développe tous les enjeux de ce sujet austère – mais qui méritait d’être exposé précisément.

  • Dans une interview intitulée « Ne pas être otage de la pandémie » parue dans La République du Centre du 6 février, Jean-Pierre Sueur répond aux questions d’Alexandre Charrier sur les dates des élections régionales et départementales.

    >> Lire l’interview

  • L’ouverture du premier procès d’Alexandre Benalla a conduit nombre de médias à revenir sur la commission d’enquête parlementaire dont j’ai été co-rapporteur avec ma collègue Muriel Jourda.
    Comme il y eut un « avant » et un « après » la commission « Outreau » à l’Assemblée Nationale, commission qui a beaucoup marqué, car elle a porté sur les lourds dysfonctionnements de l’institution judiciaire qui avaient entraîné la condamnation de personnes innocentes, je crois qu’il y a, et qu’il y aura, un « avant » et un « après » cette commission d’enquête « Benalla » au Sénat, et cela pour plusieurs raisons.
     
    1. D’abord, chacun a pu mesurer combien la mission de contrôle dévolue au Parlement est essentielle. On ne lui reconnaît souvent qu’une seule mission : élaborer, écrire la loi et la voter. Or, la Constitution lui en reconnaît deux, l’une et l’autre importantes : voter la loi, bien sûr, mais aussi assurer le contrôle du pouvoir exécutif. Je suis convaincu qu’il n’existe pas de vraie démocratie sans un tel pouvoir de contrôle au nom de la Nation par ceux qui en sont les élus.
     
    2. L’exercice de cette mission de contrôle exige une totale indépendance de la part de ceux qui l’exercent. Les parlementaires sont, certes, des élus politiques. Mais lorsqu’ils sont membres d’une commission d’enquête parlementaire, ils ne sont pas les représentants d’un parti ou d’un groupe politique. Ils se doivent d’établir la vérité, toute la vérité, sur les faits qui sont l’objet de la commission d’enquête et d’élaborer des propositions pour que les dysfonctionnements constatés ne se reproduisent pas. C'est pourquoi ils ont le pouvoir d’auditionner tous les citoyens – à l’exception, notable, du président de la République en vertu du principe de séparation des pouvoirs, garantie par la Constitution. C’est dire qu’ils doivent assumer leur mission dans une totale et intégrale indépendance d’esprit.
     
    3. Et c’est justement en raison d’un défaut d’indépendance que l’un des deux commissions d’enquête parlementaires qui ont été créées sur l’affaire Benalla, celle de l’Assemblée Nationale, « explosa en vol », cependant que celle du Sénat, pleinement pluraliste dans sa composition – chacun des groupes parlementaires y était représenté – conduisit sa mission à son terme, décidant souverainement des personnes qu’elle auditionnerait, et menant en toute clarté sa recherche de la vérité, ainsi que l’élaboration de ses propositions.
     
    4. Je me souviens qu’un débat eut lieu au départ, au Sénat, pour savoir si les auditions seraient publiques, et donc télévisées ou non. Il fut heureusement décidé qu’elles seraient publiques, ce qui n’avait pas été le cas pour les commissions d’enquête précédentes. Les Français purent donc assister à quarante heures de contrôle démocratique en direct. Là encore, il y aura un « avant » et un « après » cette commission d’enquête. Je suis persuadé qu’on ne reviendra pas en arrière et qu’il est bien qu’il en soit ainsi.
     
    5. Être auditionné devant une commission d’enquête parlementaire n’est pas anodin. Les personnes qui le sont doivent jurer de dire « la vérité, toute la vérité, rien que la vérité. » Un tel serment n’est pas requis devant un juge. Ne pas le respecter peut valoir à la personne qui s’en rend coupable de devoir en répondre devant la justice, dès lors que les instances de l’assemblée parlementaire concernée décident de la saisir.
     
    J’ajouterai que le rôle d’une commission d’enquête parlementaire est différent de celui de la <justice. Une commission d’enquête parlementaire ne juge pas. Elle ne condamne pas. Elle recherche la vérité, met à jour des dysfonctionnements et fait des propositions pour y remédier. Aujourd’hui, le temps de la justice est venu. Elle exerce sa mission en toute indépendance. Celui de la commission d’enquête du Sénat s’est achevé le jour où nous avons rendu notre rapport. C’est avec une satisfaction, que je crois légitime, que nous pouvons constater, deux ans et demi plus tard que depuis ce jour aucun des faits établis par notre rapport, aucune de nos affirmations n’ont été invalidés ou démentis.
    Jean-Pierre Sueur
    >> Lire l’interview de moi faite par Alexandre Charrier parue dans les pages nationales de La République du Centre ce lundi 20 septembre
     
    >> (Ré)écouter et (re)voir les interviewes sur :
  • Je signale l’article de Béatrice Bouniol, paru dans le quotidien La Croix du 8 décembre sous le titre : Retraites, qu’est-ce qu’une réforme juste ?
    J’y évoque la méthode qui était celle de Michel Rocard, ardent réformateur, et profondément attaché à des réformes justes.

    JPS

    >> Lire l’article

  • Je signale tout particulièrement l’article de Marjorie Lafon paru sur le site du quotidien Libération.

    Celui-ci met l’accent, à très juste titre, sur deux « contournements » des articles de loi que j’ai pu faire adopter sur les sondages.

    Si ces contournements ne portent pas sur la lettre de ces articles de loi, ils portent assurément sur leur esprit.

    Il s’agit d’abord des marges d’erreur. Publier le résultat d’un sondage sans publier la marge d’erreur, c’est refuser au lecteur (ou à l’auditeur ou au téléspectateur) une information indispensable pour simplement comprendre ce résultat et en apprécier la portée. Si un sondage donne un résultat de 51 % pour un candidat et de 49 % pour l’autre candidat et que la marge d’erreur est de plus ou moins 2,5 %, cela montre simplement que le résultat du premier si situe entre 48,5 % et 53,5 %, et celui du second entre 46,5 % et 51,5 %, et que cela peut se retourner ! C’est bien ce que l’on a vu en 2002. Avant le premier tour de l’élection présidentielle, Lionel Jospin était devant Jean-Marie Le Pen. Beaucoup ont orienté leur vote au premier tour en fonction de cette croyance qui s’est révélée fausse en raison – justement – de cette marge d’erreur.

    Or nous avons fait l’erreur – c’est le cas de le dire – d’écrire dans la loi que la publication de la marge d’erreur n’était obligatoire que pour la première publication du sondage… Résultat : certains instituts la publient en effet sur leur site Internet, peu consulté, ce qui permet de s’exonérer de sa publication dans les médias qui ont acheté ce sondage… Il faudra assurément changer la loi à cet égard.

    Le second contournement porte sur les « redressements ». La loi prévoit que des méthodes précises permettant de passer des chiffres bruts aux chiffres redressés, et publiés, doivent être déclarées et présentées à la Commission des sondages dans un document qui doit être rendu public sur le site Internet de cette commission. Il est, en effet, apparu au législateur qu’il devait y avoir une transparence totale à cet égard. Et cela pour une simple raison : les sondeurs ont déclaré aux rapporteurs des articles de loi (Hugues Portelli et moi-même) que leur méthode était « scientifique. » Si elle est « scientifique », on en voit pas ce qui s’opposerait à exposer sur quels critères objectifs les résultats bruts sont redressés. Or il suffit de consulter les documents diffusés pour constater que ceux-ci sont souvent d’une grande indigence. Là encore, l’esprit de la loi n’est pas respecté, tant s’en faut.

    JPS

    >> Lire l’article de Marjorie Lafon

  • Dans un dialogue avec Tania Racho sur Amicus Radio le 17 mars dernier, Jean-Pierre Sueur s’est exprimé sur le rôle et les décisions du Conseil constitutionnel.
  • Je signale tout particulièrement l’article très documenté de Fabien Albert dans Ouest France, suite à la publication de mon rapport sur la thanatopraxie.

    >> Lire l’article

     
  • Je reproduis l’article de Philippe de la Grange paru dans le dernier numéro du Courrier du Loiret qui rend bien compte de ma vie parlementaire dans cette période atypique. Je précise toutefois que je ne me rends pas au Sénat trois à quatre fois par semaine, mais un jour, lorsqu’il y a un débat auquel je dois participer (comme pour le projet de loi de finances rectificative ce mardi 21 avril). En revanche, je participe pratiquement chaque jour à des visioconférences et audioconférences dans la cadre des instances du Sénat (commission, mission de contrôle de l’état d’urgence sanitaire).

    Jean-Pierre Sueur

  • Suite à l’absence de réponses précises à la question orale que j'ai posée au Sénat au sujet de l’assassinat de deux journalistes de RFI au Mali au nom du « secret défense » et du « secret de l’enquête », un collectif de journalistes a publié un communiqué.

    JPS

    >> Lire la dépêche AFP

  • Jean-Pierre Sueur a été interviewé du l’indépendance du Parquet par Marie-Bénédicte Allaire dans le journal de 18 h sur RTL le 20 juin.

    >> (Ré)écouter l’interview (à 7 mn)