Loiret

  • Le Berry républicain, 22 février 2022

     
  • La République du Centre, 5 mai 2022

  • Je tiens à saluer le remarquable travail accompli par Catherine Mourrain et toute l’équipe de l’association « Val de Lire » qui ont organisé le 34e Salon du livre de jeunesse de Beaugency.

    Je pense n’avoir pas beaucoup manqué d’inaugurations de ce salon qui s’est imposé, au fil des ans, comme un grand rendez-vous de la littérature pour la jeunesse.

    Lors de l’inauguration de cette 34édition, je me suis permis de plaider pour que chaque jeune soit aidé, incité à lire, à se concentrer pour lire, en mettant pour un temps – le temps de la lecture – de côté les portables, tablettes et ordinateurs… Et je ne sais pas pourquoi je me suis mis à dire et à répéter quelques beaux vers de notre poésie – des vers qu’il faut savoir goûter, savourer, aimer…

     

    Oui, c’est si précieux !

    Merci, de tout cœur, à tous les enseignants qui font aimer le livre et la lecture.

    Et merci, de tout cœur, aux élus de Beaugency et des communes voisines qui offrent à chaque enfant deux chèques de cinq euros pour acheter des livres.

    Ces élus font sans doute là l’un de leurs meilleurs investissements.

    JPS

  • La République du Centre, 9 février 2023

     
  •  La République du Centre, 19 juin 2023

     
  • La République du Centre, 24 décembre 2021

  • La République du Centre, 30 mars 2020

  • Un passage, pourtant important, du rapport des récents États généraux de la Justice est passé inaperçu. On y lit (pages 22 et 23) que les effectifs de magistrats (siège et parquet) et de greffiers sont répartis d’une manière qui,« rapportée au nombre d’habitants et au flux d’activités » met en évidence « des déséquilibres significatifs non explicables. »
    Et le tableau qui suit ces affirmations (page 28) montre que les juridictions relevant de la Cour d’appel d’Orléans sont les moins bien dotées de France en personnel, eu égard à la population et à leur activité. Jean-Pierre Sueur a donc, par une question au ministre de la Justice (lire ci-dessous), demandé quelles dispositions concrètes il compte prendre et dans quels délais afin de réduire ces inégalités qui portent préjudice aux juridictions de la Cour d’appel d’Orléans et y affecter les postes de magistrats et de greffiers qui sont absolument nécessaires.

     

    Question écrite

    Disparités dans la répartition des effectifs de magistrats et de greffiers qui portent préjudice aux juridictions de la Cour d’Appel d’Orléans

    M. Jean-Pierre Sueur appelle l’attention du Garde des Sceaux, ministre de la Justice, sur les disparités existant au sein du territoire national pour ce qui est du nombre de magistrats et autres personnels affectés aux différentes juridictions, eu égard aux populations de leur ressort. C’est ainsi que le rapport général des États généraux de la Justice expose aux pages 22 et 23 que « l’allocation territoriale des effectifs ne répondant pas à des paramètres explicites, elle suscite des interrogations sur les disparités constatées entre l’évolution de l’activité des juridictions et la répartition des moyens. » Ce même rapport note également que « la ventilation des effectifs (siège, parquet, greffe) par nature de juridiction (tribunaux judiciaires, juridictions d’appel) rapportée au nombre d’habitants (pour 100 000 habitants) et au flux d’activité entrant, met en évidence des déséquilibres significatifs non explicables et, en tout cas non expliqués par l’administration centrale, dans la répartition des ressources entre les différents ressorts de cours d’appel. » Le tableau qui suit ces assertions (page 28) montre que les juridictions relevant de la Cour d’appel d’Orléans sont les moins bien dotées de France en personnels, eu égard à sa population et à leur activité. Il lui demande en conséquence quelles dispositions concrètes il compte prendre, et dans quels délais, afin de réduire ces inégalités qui portent préjudice aux juridictions de la Cour d’appel d’Orléans et, en conséquence, y affecter les postes de magistrats du siège et du parquet ainsi que de greffiers qui sont absolument nécessaires.

  • La République du Centre, 17 décembre 2022

     
  • La République du Centre, 16 janvier 2023

     
  • Je l’ai souvent dit devant les congrès des sapeurs-pompiers du Loiret ou en de nombreuses autres occasions : les violences contre les sapeurs-pompiers sont inadmissibles. Je l’ai redit mercredi dernier devant la commission des lois du Sénat.
    Il n’est pas possible de considérer comme un fait divers banal, auquel on s’habitue dans une sorte d’indifférence résignée, le fait que des sapeurs-pompiers, venus secourir des personnes en danger, en détresse, venus sauver des vies, soient caillassés – eux-mêmes et leurs véhicules –, au point qu’on est obligé de faire appel à la police pour les protéger. Ces actes d’individus totalement irresponsables sont scandaleux, inacceptables. Et je n’hésite pas à demander – comme je l’ai fait devant la commission des lois – qu’ils soient sévèrement sanctionnés par la Justice.
    On lira ci-dessous le rapport qui a été fait par trois de mes collègues, Catherine Troendlé, Patrick Kanner et Loïc Hervé – et les dix-huit propositions qu’ils ont faites et qui ont été approuvées par la commission des lois. Je souhaite qu’elles soient prises en compte dès maintenant et qu’elles se traduisent rapidement, lorsque c’est nécessaire, par des textes législatifs et réglementaires.
    Jean-Pierre Sueur
    Lire
     
    Dans la presse :
    >> AFP

     

  • Conseil départemental du Loiret, 17 septembre 2021

     
  •  La République du Centre, 3 septembre 2022

     
  • C’est avec une grande tristesse que j’ai appris le décès de Luc Tafforeau. Luc a été longtemps le directeur du Centre de formation d’apprentis de l’agglomération orléanaise. Il y était très proche de tous les apprentis, comme des formateurs. Il voulait que la formation fût la meilleure possible pour tous les jeunes qu’il avait en charge et assumait sa tâche avec autant de rigueur que d’humanité. Il a été longtemps un élu très dévoué à Saran avant de devenir l’adjoint de Jean-Vincent Valliès à Chécy, où il a œuvré sans relâche pour le développement de la commune et le bien-être de ses habitants. Très attaché aux valeurs de justice et de solidarité, il n’a jamais envisagé l’action politique comme un moyen de se mettre en avant, mais toujours comme un service ! Un grand merci à toi, Luc. Je pense à ton épouse, Anne-Marie, aux tiens et à tous tes amis qui sont dans la peine.
     
    Jean-Pierre Sueur
  • À la demande d’un habitant du Loiret qui avait contribué à la récente consultation organisée par l’Agence de l’eau Loire-Bretagne, Jean-Pierre Sueur a écrit au préfet de la région Centre-Val de Loire pour lui demander de bien vouloir faire un point sur les actions menées par rapport aux risques d’inondations de la Loire.

    Le nouveau préfet de région, Pierre Pouëssel, a répondu à Jean-Pierre Sueur.

    >> Lire la réponse du préfet

  • Jean-Pierre Sueur était intervenu auprès d’Agnès Buzyn, ministre des solidarités et de la santé, à la demande de l’UDAF du Loiret, sur le financement des mesures de protection qui s’appliquent aux personnes qui font l’objet d’une mesure de tutelle ou de curatelle. Agnès Buzyn lui a répondu.

    >> Lire la réponse de la ministre

  • Marcel Boulmier nous a quittés. Socialiste de toujours, il fut un instituteur très attaché à l’école publique et à la laïcité. Il aimait sa ville de Gien, où il s’est engagé dans la vie sportive et culturelle - il fut président de « l’Abeille » - ainsi que dans l’action sociale, à la tête d’une association d’aide à domicile. Il était tolérant, ouvert, chaleureux. Merci, Marcel !

  • Je tiens à saluer la mémoire de Marthe Dézarnaulds, qui vient de nous quitter. Elle était la fille de Pierre Dézarnaulds, député et maire de Gien, ministre du Front Populaire. Fidèle aux convictions de son père, elle s’est dévouée, en tant qu’infirmière, au service de chirurgie de l’hôpital provisoire de Gien pendant la guerre et elle s’est engagée dans la Résistance. Elle a toujours oeuvré pour la solidarité à Gien, comme dans son cher village de Pierrefitte-ès-Bois, dont elle fut conseillère municipale. Elle fut présidente de l’association des aides ménagères du canton de Châtillon-sur-Loire et fondatrice de l’Université du Temps Libre de Gien. Merci, chère Marthe, pour ta générosité et ton amitié !

    Jean-Pierre Sueur

  • À tous les passionnés de l’œuvre de Max Jacob – qui repose au cimetière de Saint-Benoît-sur-Loire –, je signale le très riche dernier numéro des Cahiers Max Jacob (760 pages) dirigé par Patricia Sustrac et Alexander Dickow, consacré à « Max Jacob et la Bretagne ».
     
     
     
     
     
     
    JPS
     
  • Saisi par Franck Demaumont, maire de Châlette, Jean-Pierre Sueur est intervenu auprès d’Édouard Philippe, Premier ministre, au sujet des menaces qui pèsent sur l’emploi au sein de l’entreprise Hutchinson de Châlette suite à l’annonce par le Groupe Hutchinson de la suppression de 3 000 emplois dans le monde, dont mille en France.

    Il a rappelé que ce groupe, qui a bénéficié de nombreuses aides de l’État, est une filiale à 100 % du groupe Total, auquel il a versé en 220 millions d’euros de bénéfices en 2019. Il a également rappelé les grandes capacités de l’usine de Châlette en termes d’innovation.

    Il a demandé au Premier ministre que tout soit fait pour maintenir l’ensemble des emplois à Châlette, insistant sur le fait que les aides à l’achat de véhicules ainsi que les exonérations fiscales doivent permettre de préserver l’emploi en France, que, dans ce domaine comme dans d’autres, les relocalisations  sont nécessaires, et que toutes les possibilités de diversifications et d’enrichissement des activités à Châlette doivent être étudiées rapidement et prises en compte.