Vous trouverez ci-dessous les dernières prises de position de Jean-Pierre Sueur.
Jean-Pierre Sueur est intervenu à de nombreuses reprises dans la nuit de mardi à mercredi au Sénat pour défendre le droit des historiens à l’accès aux archives. Ce droit est jusqu’ici garanti par la loi de 2008 qui dispose que, sauf cas particuliers, les documents archivés peuvent être consultées cinquante ans après leur production. Or le projet de loi sur le terrorisme et le renseignement remet cela en cause, en dépit de l’avis du rapporteur public du Conseil d’Etat. Dans un amendement, Jean-Pierre Sueur a défendu ce droit à la consultation des archives dans ces conditions, sauf « menaces graves pour la sécurité nationale. » Cinq amendements identiques ont été déposés par des sénateurs de cinq groupes différents après d’amples consultations d’historiens, d’archivistes, et de leurs associations. Malheureusement, ces amendements n’ont pas été adoptés du fait d’une succession de « scrutins publics », artifice de procédure qui permet de faire voter… les absents. En dépit de cet état de fait, Jean-Pierre Sueur continuera de défendre les droits des historiens et le droit à l’histoire !
>> Lire l'amendement présenté par Jean-Pierre Sueur
>> Dans la presse
Jean-Pierre Sueur a participé sur la chaîne TWITCH à un débat sur le Sénat avec Jean-Philippe Derosier, professeur de droit public, et l’association « Allons enfants ! ».
Jean-Pierre Sueur vient de poser au ministre des Affaires étrangères une question au sujet de l’emploi des armes explosives en zones peuplées, à la suite de la déclaration de la Commission nationale consultative des Droits de l’Homme.
Jean-Pierre Sueur a posé une question écrite à la ministre chargée de la Recherche relative au crédit d'impôt pour la recherche et propriété industrielle.
Par une question écrite, Jean-Pierre Sueur a interpellé Olivier Véran, ministre des Solidarités et de la Santé, sur la possibilité qui pourrait être ouverte aux personnes percevant l’allocation spécifique de solidarité (ASS), qui sont souvent dans une situation très difficile, de pouvoir exercer une activité très partielle.
Je salue la mémoire de René Patinote, ancien maire, si dévoué, d’Ouvrouër-les-Champs, qui vient de nous quitter. René était un ami socialiste, qui fut toujours fidèle à nos convictions. Je pense à sa famille et à ses proches.
Je me souviens des polémiques qui ont eu lieu lorsque fut décidée, il y a six ans, une réforme des élections départementales afin que dans chaque canton, un binôme constitué d’une femme et d’un homme fût présenté devant les électeurs – ce qui avait pour conséquence d’accroître le nombre d’électeurs dans chaque canton, mais aussi d’assurer une parfaite parité entre femmes et hommes au sein de l’ensemble des conseils départementaux. Je constate, six ans plus tard, qu’il n’y a plus de polémique à ce sujet. Grâce au gouvernement de François Hollande, un grand pas en avant aura été accompli : plus personne ne contestera la parité au sein de nos conseils départementaux. Elle est acquise – et c’est très positif !
Jean-Pierre Sueur
La République du Centre a consacré dans son édition du 11 juin deux pages aux dispositions visant à lutter contre la « corruption internationale » et à faire en sorte que les biens dérobés, lorsqu’ils sont confisqués, reviennent aux populations spoliées – sujets sur lesquels Jean-Pierre Sueur travaille depuis longtemps et qui vont se traduire très prochainement par des mesures législatives très précises.
Comme il s’y était engagé, Jean-Pierre Sueur est intervenu au sujet de la situation de l’entreprise Office Dépôt et de ses salariés auprès d’Agnès Pannier-Runacher, ministre de l’Industrie, Élisabeth Borne, ministre du Travail, et Régine Engström, préfète de la région Centre-Val de Loire, préfète du Loiret.
Je salue la mémoire de Bernard Chevolot, ancien maire d’Artenay. Médecin, Bernard Chevolot s’est beaucoup battu pour l’accès de tous à la santé. Maire, il a pleinement servi l’intérêt général. Humaniste, il a œuvré pour la culture, l’archéologie et le musée du théâtre forain.
Jean-Pierre Sueur
Dans une question écrite au ministre de l’Intérieur sur la nouvelle carte d'identité prévue par un règlement européen, Jean-Pierre Sueur défend le plurilinguisme et non le choix exclusif de l’anglais.
Jean-Pierre Sueur avait interpellé Brigitte Bourguignon, ministre déléguée chargée de l’Autonomie, sur la nécessaire revalorisation salariale des aides à domicile et des aides-soignantes. Elle lui a répondu.
Jean-Pierre Sueur était l’invité de France Bleu Orléans le 10 mai. Il a notamment été question du 10 mai 1981 à Orléans, de l’élection municipale de 1989 et de l’entrée de Jean-Pierre Sueur au gouvernement.
Ce livre est publié aux éditions du Cerf (256 pages, 22 €) et sera en librairie à partir du 12 mai
Jean-Pierre Sueur a signé un appel de parlementaires lancé par Oxfam France afin de demander la levée des brevets sur les vaccins contre le Covid-19 : ces vaccins doivent être un bien commun de l’humanité.
>> Lire l’appel
Lors d’une visioconférence entre Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, et des parlementaires et élus du Loiret, j’ai défendu avec force la création d’un centre hospitalier universitaire (CHU) à Orléans.
Marcel Boulmier nous a quittés. Socialiste de toujours, il fut un instituteur très attaché à l’école publique et à la laïcité. Il aimait sa ville de Gien, où il s’est engagé dans la vie sportive et culturelle - il fut président de « l’Abeille » - ainsi que dans l’action sociale, à la tête d’une association d’aide à domicile. Il était tolérant, ouvert, chaleureux. Merci, Marcel !
Un article de Philippe Foussier dans Marianne où il est aussi question d’Orléans.
Jean-Pierre Sueur interviendra le 9 mai au Creusot lors d'un colloque national sur le thème « Les 40 ans de l’élection de François Mitterrand ».
Le média en ligne Cube publie une interview de Jean-Pierre Sueur réalisée par Kevin Corbel et intitulée « Quarante ans de carrière politique : les vies de Jean-Pierre Sueur ».
Jean-Pierre Sueur
Jean-Pierre Sueur était l’invité de la matinale de Public Sénat le 19 avril. Il répond aux questions d’Oriane Mancini.
Jean-Pierre Sueur
Notre cher Michel Guinard nous a quittés. Nous lui devons les belles sculptures sur bois de l’église Saint-Yves d’Orléans-La-Source (photos ci-dessous). Merci Michel ! Toute notre amitié à Dany et à vos enfants, Isabelle et Laurent.
Jean-Pierre Sueur
Jean-Pierre Sueur a été l’invité de Jean-Pierre Carrera dans une émission des « Sentiers de l’histoire » sur RCF Loiret, consacrée à Étienne Dolet.
Jean-Pierre Sueur
Dans la suite de la précédente lettre électronique (n°826 du 6 avril 2021), nous publions ci-dessous les principales interventions de Jean-Pierre Sueur dans la suite du débat sur le projet de loi confortant le respect des principes de la République.
Jean-Pierre Sueur est intervenu à plusieurs reprises lors du débat au Sénat sur le projet de loi relatif au respect des principes de la République pour défendre la liberté des associations. Il a dit que les objectifs du texte – lutter contre le djihadisme violent et l’islamisme radical – ne justifiaient pas de créer de nouvelles contraintes pour les 1 300 000 associations « loi 1901 » que compte notre pays. Reprenant une proposition de la Fédération protestante de France visant à supprimer l’obligation de souscrire un « contrat d’engagement républicain » et à indiquer plutôt que les associations s’engagent à respecter les principes de liberté, d’égalité, de fraternité et de respect de la dignité humaine, il a dit qu’en tout état de cause, la Constitution était explicite et s’appliquait à toutes les associations et à toutes et tous. Il a rappelé, de surcroît, l’existence d’une Charte d’engagements réciproques entre l’État, les associations et les collectivités locales, qui a été élaborée en 2014 à l’initiative du mouvement associatif.
Jean-Pierre Sueur a interpellé Sophie Cluzel, secrétaire d’État chargée des Personnes handicapées, au sujet de l’accessibilité des programmes télévisés pour les personnes en situation de handicap. Celle-ci lui a répondu.
Professeur émérite à la Sorbonne et ancien professeur à l’Université d’Orléans, Claude Michaud nous livre dans son dernier ouvrage, paru aux éditions de la Sorbonne, consacré au jansénisme à Orléans au XVIIIe siècle, une page très méconnue de son histoire. On a en effet bien du mal à s’imaginer aujourd’hui l’ampleur des controverses qui ont alors agité Orléans, « bastion du jansénisme », et qui ne relevaient pas seulement de la théologie, mais de la vie même de la cité, dans toutes ses composantes.
Je ne reviendrai pas ici sur les sources du « jansénisme », sur les disputes entre « la liberté humaine et la grâce », sur Port Royal, sur les Provinciales de Blaise Pascal, défendant les jansénistes et pourfendant leurs adversaires jésuites. Non, je suivrai simplement de chapitre en chapitre l’histoire des évêques d’Orléans, précisément décrite par Claude Michaud. Il y eut d’abord le cardinal Pierre de Cambon du Coislin (1666-1706) tout à fait bienveillant. Son successeur, Louis Gaston Fleurian d’Armenonville (1706-1733) l’était beaucoup moins. Il entreprend une « purge » contre les jansénistes « mal pensants ». Il s’ensuit une vive querelle entre les « bullistes », qui soutiennent la bulle « Unigenitus », publiée le pape, et les « appelants » qui appellent à un concile général. Dix curés d’Orléans se révoltent contre l’évêque. Celui-ci les interdit de prédications et de confessions – et même de mariages (sources de revenus). Les curés d’Olivet et de Darvoy sont sanctionnés. Deux couvents, celui des Ursulines, place Saint-Charles (surnommées les « bourniquettes ») et celui de Voisins à Saint-Ay, sont les places fortes de la contestation. L’évêque interdit que l’on dispense les derniers sacrements aux jansénistes mal pensants. Avec son successeur, Nicolas Joseph de Pâris (1733-1753), c’est pire encore. Le chanoine Sellier meurt dans une nuit de 1739 privé de sacrements, ce qui suscite, nous rapporte Claude Michaud, un « soulèvement universel de toute la ville. »
Lui succède l’évêque de Montmorency-Laval (1753-1757) dont la démission met un terme à « une persécution d’autant plus mal ressentie qu’elle prenait pour cible des clercs, des religieuses et des laïcs fort âgés. »
Au-delà de ces épisodes, l’intérêt du livre de Claude Michaud réside dans le rapport qu’il fait entre cette vraie « guerre de religion » et son substrat sociologique : « Le jansénisme du siècle des Lumières – écrit-il –, ne fut plus le refuge des aristocrates et des robins confrontés à l’emprise de la monarchie absolutiste (…) mais bien l’expression religieuse de couches sociales dynamiques négociantes et officières (…) À Orléans, le milieu des négociants, surtout celui des grands raffineurs majoritairement concentrés dans les paroisses Notre-Dame de Recouvrance et Saint-Paul, illustra cet attachement à la doctrine condamnée puis tolérée. » (Il y avait à Orléans à la fin du XVIIIe siècle « 24 raffineries de sucre et 250 chaudières. ») Et parmi les grandes figures de cette mouvance janséniste, Claude Michaud dresse les portraits de Robert-Joseph Pothier, de Daniel Jousse, mais aussi ceux des familles Desfriches et Vandebergue de Villiers…
Toute cette histoire s’explique par des ressorts psychologiques. Claude Michaud cite Monique Cottret qui écrit : « L’insoumis est persécuté. Le rebelle est une victime. Voilà qui rend le jansénisme sympathique. » Comment ne pas voir qu’alors que le siècle des Lumières s’avance, les querelles théologiques recoupent largement de profondes évolutions sociologiques.
Jean-Pierre Sueur
Pac 2023 : à l'initiative de Jean-Pierre Sueur et Marianne Dubois, l'ensemble des parlementaires du Loiret a écrit à Julien Denormandie, ministre de l'Agriculture, afin de solliciter un rendez-vous en urgance.
Jean-Pierre Sueur a exposé sa position sur ce texte et plus particulièrement sur les mesures relatives aux cultes lors de la réunion de la commission des lois du 17 mars.
> Lire son intervention
Jean-Pierre Sueur était intervenu auprès d'Emmanuelle Wargon, ministre chargée du logement, au sujet des difficultés d'articulation entre les différentes aides à la rénovation.
La ministre lui a répondu.
> Lire l'interview de ce vendredi 19 mars.
La majorité du Sénat ayant finalement adopté une nouvelle rédaction qui, pour Jean-Pierre Sueur, laisse entière la question de la liberté de la presse, il s’est exprimé à ce sujet dans une réponse à Bruno Retailleau, qui défendait la position de cette majorité.
>> Lire son intervention (page 28 du PDF)
>> Voir la vidéo de sa réponse à Bruno Retailleau
Dans la presse :
Jean-Yves Le Drian vient de répondre à une question écrite que Jean-Pierre Sueur lui avait posée il y a plus d’un an à propos de la « coopération de l'Union européenne avec les garde-côtes libyens dans la gestion de l'immigration. »
Dans une réponse à Jean-Pierre Sueur, le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian rappelle factuellement et succinctement qu’une enquête a été ouverte auprès du Tribunal judiciaire de Paris en 2013, que les documents en sa possession ont été transmis à cette juridiction en 2014 et que « la France continue d’appeler de ses vœux la manifestation de la vérité sur la mort de M. Ibni Oumar Mahamat Saleh. »
Jean-Pierre a posé une question écrite à Roselyne Bachelot, ministre de la Culture, sur le statut des correspondants de presse. Celle-ci lui a répondu.
Je salue la mémoire de Vanik Berberian, ancien président de l’Association nationale des maires ruraux de France, maire de Gargilesse, défenseur si chaleureux des communes rurales et de la ruralité. Les territoires ruraux étaient pour lui des territoires d’avenir ! Merci à toi, Vanik, pour toules nos rencontres et merci de m’avoir accueilli dans l’Indre !
JPS
Sous le titre « Marathonien de la vie politique », l’hebdomadaire La Gazette des Communes publie, dans son numéro du 1er mars, sous la plume d’Olivier Schneid, un portrait de Jean-Pierre Sueur.
Jean-Pierre Sueur est parmi les premiers signataires d’un appel signé par 210 députés et sénateurs français et allemands demandant à leurs deux pays d’avancer dans l’élaboration d’une déclaration européenne visant à interdire l’utilisation d’armes explosives en zones peuplées. Cette pétition a été publiée par le journal La Croix.
Jean-Pierre Sueur était l’invité de la « Matinale » de Public Sénat le 4 mars. Il était interviewé par Oriane Mancini sur l’actualité, et notamment la proposition de loi sur la sécurité globale, celle sur les conditions indignes de détention, et le projet de loi sur les principes de la République (« séparatisme »).
Jean-Pierre Sueur a été interviewé le 5 mars par Anne Oger sur France Bleu Orléans à propos de la proposition de loi « sécurité globale » et plus largement sur les questions de sécurité.
Iréne Ajer, qui vient de nous quitter, a voué sa vie à la culture. Elle a exercé nombre de fonctions au sein du ministère de la Culture, auquel elle était très attachée, défendant toujours les jeunes compagnies, la création théâtrale, la décentralisation culturelle sous toutes ses formes. Elle fut l’administratrice de l’IRCAM de Pierre Boulez et la préfiguratrice de la Cité de la Musique. Pour nous, habitants du Loiret, elle fut surtout la première directrice de la Maison de la Culture d’Orléans, faisant preuve, comme l’écrit justement Marc Baconnet, d’autant de dynamisme que d’enthousiasme. J’ajouterai : et de générosité. Merci, Irène !
Jean-Pierre Sueur
Paulette Guinchard-Kunstler vient de nous quitter. Après avoir publié son rapport : « Vieillir en France », elle a été nommée secrétaire d’État aux personnes âgées et s’est beaucoup battue pour la création de l’Aide Personnalisée à l’Autonomie. J’ai eu le privilège de travailler avec elle pour cette juste cause. Paulette fut toujours militante, à la JAC ,à la CFDT, au PSU, au PS, aux côtés de Michel Rocard et de Martine Aubry. Elle fut adjointe à Besançon et députée du Doubs. Marie-Guite Dufay, présidente de la région Bourgogne-Franche Comté, salue à juste titre une femme « accessible, modeste et naturelle avec son franc parler ». Paulette a choisi le « suicide assisté », ce fut son dernier acte militant. Elle était généreuse et d’une grande humanité. Merci à toi, Paulette.
Jean-Pierre Sueur
Par une question écrite, Jean-Pierre Sueur a interrogé la ministre de la Cohésion des territoires et des Relation avec les collectivités locales, au sujet du respect des droits des familles lors des cérémonies de crémation.
Public Sénat a publié une interview croisée de Roger Karoutchi et Jean-Pierre Sueur sur Jean Zay.
Jean-Pierre Sueur était intervenu auprès du Premier ministre, Jean Castex, au sujet de la revalorisation salariale des personnels médico-sociaux. Le Premier ministre lui a répondu.
Le nouvel ambassadeur de la Tunisie en France, Mohamed Karim Jamoussi, a été accueilli au Sénat par Jean-Pierre Sueur en sa qualité de président du groupe interparlementaire d’amitié franco-tunisienne du Sénat. Une réunion de travail fructueuse.
Jean-Pierre Sueur
>> Aux éditions du Cerf, 90 pages, 10 €
Jean-Pierre Sueur avait écrit à Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance, à la demande de plusieurs professionnels et d’élus – comme le maire de Vienne-en-Val –, à propos de la situation des commerçants et des artisans. Bruno Le Maire lui a répondu.
Que l’Université de Lorraine s’intéresse à l’image de Jeanne d’Arc est, après tout, bien naturel. Elle l’a fait en organisant en 2018 un colloque sur le thème « L’Image de Jeanne d’Arc dans les littératures européennes des XIXe et XXe siècles : de la sainte nationale à la figure européenne » et en publiant un ouvrage éponyme sous la direction de Lioudmila Chvedova et Jean-Michel Wittmann. Il faut les remercier, car cet ouvrage est une somme qui nous apprend beaucoup sur l’image de Jeanne d’Arc dans la littérature française, mais aussi allemande, russe, polonaise, finlandaise et qui nous promène dans toutes les formes de littérature, de la poésie lyrique au pamphlet en passant par le théâtre et le théâtre populaire (ainsi le Théâtre du Peuple de Bussang, créé par Maurice Pottecher), mais aussi le roman, le roman populaire et la littérature marginale. Et pour nous en tenir à la littérature française, outre Péguy bien sûr, nous découvrons des pages souvent méconnues de Musset, Verlaine, Bernanos ou Joseph Delteil. C’est donc une « somme », en effet, que l’on parcourt avec grand intérêt, de page en page et de découverte en découverte.
JPS
>> Aux Éditions universitaires de Lorraine